Sinottica di «Geopolitica»
Home della «Questione sionista»
Mentre valgono le considerazioni generali già fatte per le precedenti fonti documentarie, finora raccolte, e cioè: Vedi Elenco Numerico, pare qui opportuno rilevare ogni volta la casualità e imparzialità con la quale le diverse fonti si aggiungono le une alle altre, animati da una pretesa di completezza, che sappiamo difficile da raggiungere, ma che non ci stancheremo dal perseguire. Il “Journal de Genève” è così presentato nel suo proprio sito: «Fondé par James Fazy, le quotidien suisse paraît le 6 janvier 1826 et son dernier numéro est daté du 28 février 1998. Le quotidien milite dès ses débuts en faveur d’un libéralisme à visage humain. Il plaide pour le suffrage universel et la liberté de la presse. La collection complète représente 550'000 pages imprimées équivalant à 2'000'000 articles». L’archivio svizzero abbraccia 200 anni. Assumendo per questa testata come anno di partenza il 1948, seguiamo un metodo ora diacronico ora sincronico, raccordandolo con quello sincronico generale iniziato dall’anno 1921. Cercheremo di evitare appesantimenti nel Lettore, celandogli le problematiche della ricerca, ma agevolandogli per quanto possibile la navigazione in tutto l’ipertesto.
Sommario: 1885: 1) 5 maggio: 2) 1° luglio: Il “caso” Stoecker in Germania. – 2) 11 dicembre: – 3) 31 dicemb
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Mentre valgono le considerazioni generali già fatte per le precedenti fonti documentarie, finora raccolte, e cioè: Vedi Elenco Numerico, pare qui opportuno rilevare ogni volta la casualità e imparzialità con la quale le diverse fonti si aggiungono le une alle altre, animati da una pretesa di completezza, che sappiamo difficile da raggiungere, ma che non ci stancheremo dal perseguire. Il “Journal de Genève” è così presentato nel suo proprio sito: «Fondé par James Fazy, le quotidien suisse paraît le 6 janvier 1826 et son dernier numéro est daté du 28 février 1998. Le quotidien milite dès ses débuts en faveur d’un libéralisme à visage humain. Il plaide pour le suffrage universel et la liberté de la presse. La collection complète représente 550'000 pages imprimées équivalant à 2'000'000 articles». L’archivio svizzero abbraccia 200 anni. Assumendo per questa testata come anno di partenza il 1948, seguiamo un metodo ora diacronico ora sincronico, raccordandolo con quello sincronico generale iniziato dall’anno 1921. Cercheremo di evitare appesantimenti nel Lettore, celandogli le problematiche della ricerca, ma agevolandogli per quanto possibile la navigazione in tutto l’ipertesto.
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1885
1882 ↔ 1889 1950
1882 ↔ 1889 1950
Journal de Genève: 1882 - 1883 - 1884 - 1885 - 1886 - 1887 - 1888 - 1889 - 1890 - 1891 - 1892 - 1993 - 1894 - 1895 - 1896 - 1897 - 1898 - 1899 - 1900 - 1901 - 1902 - 1903 - 1904 - 1905 - 1906 - 1907 - 1908 - 1909 - 1910 - 1911 - 1912 - 1913 - 1914 - 1915 - 1916 -1917 - 1918 - 1919 - 1920 - 1921 - 1922 - 1923 - 1924 - 1925 - 1926 - 1927 - 1928 - 1929 - 1930 - 1931 - 1932 - 1933 - 1934 - 1935 - 1936 - 1937 - 1938 - 1939 - 1940 - 1941 - 1942 - 1943 - 1944 - 1945 - 1946 - 1947 - 1948 -
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Inizio spoglio: 1948 |
Cap. 1
Bulletin politique:
un incident qui fait grand bruit en Allemagne
un incident qui fait grand bruit en Allemagne
Journal de Genève,
1 luglio 1885, p.1
1 luglio 1885, p.1
Genève, le 1 Juillet 1885. Bulletin politique. – [...] Un incident qui fait grand bruit en Allemagne est venu servir aussi la politique du chancelier et porter une atteinte grave au prestige d’une fraction importante du parti conservateur. M. le pasteur Stoecker, prédicateur de la Cour et chef de l’antisémitisme, a été publiquement assusé de mensonge par le rédacteur d’une petite feuille progressiste.
Le ministère public a intenté une poursuite en diffamation contre le journaliste. Au cours du procès, M. Stoecker a été appelé à déposer en qualité de temoin à charge. Dans son interrogatoire, il a dû confesser des erreurs, des défaillances de mémoire si étranges qu’elles souffrent aisément une interprétation défavorable, et l’affectation aux dépenses du mouvement antisémitique de fonds déposés entre ses mains pour des objets de charité. Sur tous ces points les amis de M. Stoecker, ne contestant pas la materialité des faits, se contentent de plaider le circostances atténuantes. On ne peut demander en bonne justice aux adversaires, particulièrement aux israélites, contre lesquels le prédicateur de la Cour a déployé une hostilité implacable, de se rallier à l’indulgence des coreligionnaires politiques de M. Stoecker. On le déclare incapable de jouer plus longtemps un rôle parlementaire en vue; on réclame sa destitution des hautes fonctions ecclésiastiques qu’il remplit et pour lesquelles, du reste, ses véhémentes polémiques le rendaient assez peu propre... Il ne nous appartient pas de prononcer entre les accusateurs et les défenseurs de M. Stoecker. Il se peut que les fâcheuses erreurs de conduite dont il s’est rendu coupable n’atteignent pas son caractère moral: mais M. Stoecker s’est fait le champion d’une croisade sans merci contre toute une fraction de ses compatriotes, et il ne doit pas s’étonner qu’on lui applique dans la presse la mesure dont il n’a cessé d’user lui-même envers les objets de ses dénonciations.
D’ailleurs, en dehors de la question de personne, l’importance de l’incident que nous venons de signaler est tout entière dans l’influence qu’il ne peut manquer d’exercer sur les destinées de l’antisémitisme. C’est, suivant toute vraisemblance, le coupe de grâce donné à cette agitation qui, à un moment donné, avait paru menacer la paix sociale et confessionnelle en Allemagne. Il se peut que les libéraux allemands gagnent aussi quelques voix par la conclusion d’un accord avec le parti démocratique, et surtout par la dissensions intestines qui font rage le camp démocrate-socialiste.
La fraction parlamentaire au Reichstag est en lutte ouverte avec le parti du dehors. Les membres de ce dernier reprochent aux députés de subordonner l’agitation socialiste à la tactique parlementaire, et de prendre rang dans l’organisme constitutionnel au lieu de ne servir de la tribune que comme d’un moyen révolutionnaire de plus […]
Cap. 2
B
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